Bonjour à tous!

J’espère que vous avez passé un bon week-end! De mon côté il fut très agréable, bien qu’il soit passé beaucoup trop vite comme d’habitude, mais tout va bien puisque j’ai une semaine plutôt light qui arrive et qui va donc pouvoir me permettre de préparer chez moi l’arrivée de mon mois préféré, le mois de décembre! Trève de blabla, et place à l’article du jour! Pour débuter cette nouvelle semaine donc, je vous propose aujourd’hui un petit billet consacré à mes deux derniers gros coups de coeur au cinéma, Magic in the moonlight de Woody Allen et Interstellar de Christopher Nolan, deux films que je ne voulais surtout pas rater tant j’aime l’univers et les films de ces réalisateurs.

Magic in the moonlight

Lorsqu’un nouveau Woody Allen est à l’affiche, il est impensable pour moi de ne pas aller le voir tant j’aime l’univers de ce réalisateur, qui fait d’ailleurs parti de mes réalisateurs favoris. Si certains de ses derniers films m’ont un poil déçue, ce n’est absolument pas le cas de celui-là. J’ai en effet passé un excellent moment devant cette comédie légère et romantique qui donne le sourire. Comme toujours, le casting est très bon (mention spéciale pour Colin Firth, absolument délicieux et pour Emma Stone, complètement envoûtante) et les paysages du sud de la France et la lumière vraiment magnifiques, petit plus pour l’ambiance des années 20 parfaitement restituée. Il s’agit d’un petit bonbon acidulé à savourer et à ne pas manquer si vous aimez le style léger de Woody Allen (et plus particulièrement l’ambiance de son film Midnight in Paris, qui reste mon préféré à ce jour).

Résumé (Allociné): « Le prestidigitateur chinois Wei Ling Soo est le plus célèbre magicien de son époque, mais rares sont ceux à savoir qu’il s’agit en réalité du nom de scène de Stanley Crawford : cet Anglais arrogant et grognon ne supporte pas les soi-disant médiums qui prétendent prédire l’avenir. Se laissant convaincre par son fidèle ami Howard Burkan, Stanley se rend chez les Catledge qui possèdent une somptueuse propriété sur la Côte d’Azur et se fait passer pour un homme d’affaires, du nom de Stanley Taplinger, dans le but de démasquer la jeune et ravissante Sophie Baker, une prétendue médium, qui y séjourne avec sa mère. »

Interstellar

Il en va de même pour Interstellar, que mon homme et moi attendions avec impatience depuis de longs mois. Nous sommes en effet très très fan de Nolan et ne manquons aucun de ses films. Si celui que je préfère est très loin d’Interstellar (il s’agit du Prestige) j’ai tout de même été complètement embarquée par l’histoire que nous raconte Nolan ici.

Cette épopée inter-sidérale est incroyable, les images sont absolument splendides et le casting parfait (Matthew Mcconaughey est génial, comme toujours!). C’est simple, pendant les 2h50 de film, j’étais tellement immergée dedans que je n’ai pensé à rien d’autre, ce qui est très très rare pour une rêveuse comme moi! Je pourrais vous en parler longtemps, je vais donc m’arrêter là et vous conseillez d’aller voir ce film qui est une véritable expérience à lui seul (et surtout, voyez le au cinéma, tout l’intérêt est là!).

Résumé (Allociné): « Le film raconte les aventures d’un groupe d’explorateurs qui utilisent une faille récemment découverte dans l’espace-temps afin de repousser les limites humaines et partir à la conquête des distances astronomiques dans un voyage interstellaire. « 

6 commentaires

  1. J’ai dormi la moitié du temps pendant Interstellare, je suis un peu déçue car de ce que j’en ai vu c’était un beau film.
    En revanche le dernier Woody m’a ennuyée à un point que je le classe dans ceux que j’ai le moins aimé alors que j’avais bcp apprécié Midnight in Pais !

    • Tu étais fatiguée pour Interstellar ou tu n’as juste pas accroché? Ah mince, moi je l’ai trouvé très léger, très agréable le dernier Woody, qu’est-ce qui t’as déplu?

      • J’ai déjà dormi devant d’excellents films, je devais être particulièrement fatiguée.
        Je ne sais pas exactement, je n’ai pas retrouvé l’atmosphère des Woody Allen que j’aime d’habitude !

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